L’égorgement d’un prêtre dans une petite commune normande, mardi, témoigne une nouvelle fois de la volonté de l’Etat islamique de frapper partout, tout le temps. Une guerre d’usure mûrie depuis le début des années 2000 par les théoriciens jihadistes, qui rêvent d’un conflit total et ultime avec les «infidèles».